Production vidéo documentaire

La planification et la logistique des trois jours de tournage a été mise en place avec un de leur producteur.Nous avons contacté l’aéroport de Blécherette et la police de Lausanne pour obtenir l’autorisation de filmer sur le tarmac. Nous nous sommes entretenus avec l’équipe de communication de Solar Impulse pour nous assurer que Betrand Piccard et André Borschberg, seraient présents pour les interviewer.

Le documentaire traitait de l’évolution constante de l’énergie solaire dans le monde d’aujourd’hui. Malgré le peu de temps que les responsables de Solar Impulse nous ont consacré, nous avons fourni au National Geographic des images de qualité irréprochable. Nous avons tourné l’interview de Bertrand devant un hangar, porte ouverte, avec un avion en arrière-plan.

Retour en haut

Nous avons ensuite eu la chance d’avoir une pluie soudaine qui a été une bénédiction déguisée. En effet, au milieu d’une journée autrement ensoleillée, cette bourrasque a fini par mettre juste la bonne quantité de vapeur sur le tarmac pour fournir un cadre dramatique parfait, gratuitement et sans grand effort. Avec la caméra réglée sur une fréquence d’images élevée pour le ralenti en post-production, nous avons capturé de superbes plans de Bertrand marchant en héro sur le tarmac. Avec André, c’est une interview en intérieur qui s’est déroulée sans encombre. Il est arrivé en hélicoptère et nous avons obtenu de bons plans à l’aide d’un steadicam et d’un chariot d’aéroport, réquisitionnés pour créer un travelling de fortune.
Nous avons également tourné des scènes dans les Alpes pour ce documentaire et National Geographic a été très satisfait des images que nous avons livrées.

Nous étions également chargés de la photographie sur place, ainsi que de trouver des vidéastes pour réaliser des interviews et des séquences vidéo pour le montage que nous avons ensuite effectué en Suisse. L’objectif était de documenter et d’expliquer comment l’agence des Nations Unies avait géré l’impact de la Covid-19 sur les travailleurs de la chaîne d’approvisionnement dans le monde entier.

L’OIT a également mandaté Fullframe pour des documentaires sur la réforme des pensions sociales, ainsi que pour de nombreuses vidéos d’explication animées. L’objectif était de faire en sorte que le texte soit bien présenté lorsqu’il est prononcé pour accompagner l’animation. Le contenu devait être créatif et convaincant, sans quoi nous aurions rapidement perdu des spectateurs et des lecteurs.

Lire l’article du Cambodge (en anglais)

Chez Fullframe Creative, nous comptons dans nos rangs un ancien journaliste ayant des dizaines d’années d’expérience dans la production de documentaires destinés à communiquer de manière claire et concise. Notre collaboration avec l’OIT sur ce projet ambitieux a été un grand succès, et l’OIT fait depuis régulièrement appel à nous pour divers types de production de contenu multimédia.

Retour en haut

Ce documentaire a été une production de longue haleine. Nous devions saisir la vie, les traditions et les défis des fromagers du nord-ouest de la Suisse tout au long de l’année : printemps, été, automne et hiver. Mais long n’est pas synonyme d’ennuyeux.
En nous plongeant dans la vie de ces agriculteurs, nous avons eu un aperçu d’un mode de vie pour lequel nous avons beaucoup de respect, mais que nous connaissons très peu, même si, en tant que Fullframe, la plupart d’entre nous mangent du fromage presque tous les jours.

C’était d’abord une question de patience et de respect. Pour réaliser ce documentaire, nous avons dû gagner la confiance de plusieurs agriculteurs. Les assurer que nous n’allions pas les déformer, que nous allions réellement nous intéresser à eux. C’est ainsi qu’ils se sont ouverts et nous ont permis de pénétrer dans leurs cercles les plus intimes.

Retour en haut

Nous étions présents à 5 heures du matin lors de la traite des vaches. Nous étions là à midi quand ils déjeunaient avec leurs familles et encore le soir quand ils couchaient leurs enfants.
Mais les moments les plus spectaculaires ont été, sans aucun doute, les vols de drones pendant ces heures dorées, pour filmer ce paysage merveilleux alors que les brumes matinales se levaient sur les champs enneigés ou que le vent balayait les champs fleuris. Filmer les vaches qui allaient brouter ces fleurs était également très amusant.

Le documentaire a été bien accueilli par l’association des fromagers, qui projette le film quotidiennement à la Fromagerie du Noirmont dans les Franches-Montagnes.  

Le premier consistait à réaliser un documentaire sur les maîtres d’éléphants, appelés Mahouts, car leur tradition – qui consiste à capturer des éléphants sauvages lorsqu’ils sont bébés et à les élever jusqu’à ce qu’ils deviennent domestiques – est en train de disparaître. Pour le second il s’agissait de réaliser, pour leur protection, un documentaire sur l’exploitation des croyances traditionnelles sur la forêt et les animaux.

L’UICN a chargé Fullframe d’envoyer un vidéo-journaliste au Laos pour réaliser ces documentaires.

Le travail comprenait toutes les recherches, la rédaction du scénario, la logistique – y compris la gestion des entretiens par l’intermédiaire d’un interprète – ainsi que le tournage proprement dit, le montage et tous les accessoires tels que la conception sonore, le sous-titrage, etc.
La mission nous a donné une occasion incroyable de nous rapprocher de personnes qui seraient autrement très difficiles à atteindre, sans parler des endroits de la jungle qui offraient des spectacles fabuleux pour la caméra.

Les conditions étaient cependant difficiles : chaleur, moustiques, malaria, eau insalubre, etc. Une équipe de deux personnes a bravé ces conditions, dormi avec les habitants et littéralement couru avec les éléphants pour tourner des images exceptionnelles qui ont donné lieu à ces deux documentaires. L’UICN a été ravie des résultats, et nous avons eu un plaisir fou à les réaliser.

Retour en haut